Vote pour le BD concours N°1

Voici les trois textes que nous avons reçu pour le concours numéro 1 !
A vous de voter pour votre préféré en répondant au sondage. Il est évident que vous pouvez laisser des commentaires ^^
Le vote se terminera le dimanche 7 juin. Bonne lecture !

TEXTE NUMERO UN

Citation :: C'est d'un pas lourd qu'Emmett se dirigea vers le lit double collé contre le mur de la pièce faiblement éclairée par un halo de lumière en provenance de la lune qui traversait la porte fenêtre de la pièce. Le jeune homme s'écroula sur la paillasse et on entendit nettement les lattes grincées légèrement le temps qu'il trouve une position confortable pour sombrer dans les bras de Morphée. Il mit longtemps à trouver les chemins des songes, mais finit par s'y glisser et peu à peu s'enfonça dans une profonde léthargie reposante...

La scène lui apparue d'un coup. Comme s'il émergeait d'une écharpe de brume qui jusque là avait tout masqué. Emmett jeta un regard circulaire à l'endroit les yeux écarquiller par l'étonnement qui parcourait toutes les fibres de son corps. Non loin de là, un orchestre se tenaient sur des trépieds en train de revoir les mélodies qu'ils joueraient durant l'événement. Emmett avança de plusieurs pas légèrement titubants vers l'arcade de fleurs qui se dressait devant un long tapis de part et d'autre du quel se tenaient plusieurs rangs de banc de bois vernis. L'endroit grouillaient d'invités. À vrai dire l'endroit ressemblait bien plus à une fourmilière qu'à autre chose.Tout le monde se précipitaient d'un endroit à un autre pour vérifier les derniers préparatifs pour que le tout soit parfait. Il se tourna et remarqua un autel religieux et un magnifique sourire se dessina sur ses belles lèvres. Il revivait le meilleur jour de sa vie. Si son coeur battait encore il se serait surement emballé de joie. Il revivait son mariage avec Rosalie. Il se rendit alors compte de ses vêtements. Il était très élégamment vêtu dans un smoking de velours dont les bordures intérieures étaient noires. Sa chemise était blanche et boutonnées correctement et bien entendu un noeud papillon noir enserrait son cou puissant. Indéniablement il était beau ce jour-là. Si ce n'est dire beaucoup plus que d'habitude. Sa peau qui au naturel était bien plus pâle semblait avoir repris quelques teintes grâce à l'éclairage que donnait certaines lumières accrochées à des poutrelles métalliques discrètes. Ses yeux pétillaient d'un éclat de joie très intense. Sa carrure robuste lui donnait l'allure d'un homme fort, mais pourtant très doux. Et les températures étaient idéales. Si ce n'est dire parfaite. Une bise très légère balayait le lieu et le soleil légèrement caché par quelques nuages descendaient à l'horizon. Bizzarement sa peau ne pétillaient pas tels des diamants et il se résolut à ne pas y faire attention. Après tout c'était le plus beau jour de sa vie et il n'allait pas gâché l'instant en aillant les idées ailleurs. Il ne se le permettrait pas.

Le jeune marié ajusta ses boutons de manchettes avant que son regard d'or et miel liquide parcours la foule d'invités à la recherche des membres de sa famille. Évidemment, Rosalie ne se trouvait pas parmi eux, pas plus qu'Alice qui devait surement aidé la mariée à se préparer. Sacré Alice ^^. Il avisa Carlisle et Esmé en train de discuter et d'échanger des poignées de mains avec des personnes qu'Emmett ne pensait pas connaître. En y regardant de plus près il n'était pas sûr de connaître la moitié des invités qui parlaient entre eux dans un brouhaha incessant. Il sentit presque une vague de nervosité l'assaillirent lorsque tout le monde s'arrêta de converser. L'impression que se fut le bouton de réglage de volume qui avait été tourné jusqu'au point zéro lui traversa l'esprit ce qui lui arracha un demi sourire qui agita le coin de sa joue dans un léger tic familier. Il crut que son torse allait exploser lorsque l'orchestre qu'il avait vu au début de ..de ?Au début de quoi au juste ? À son arrivée sur les lieux. Les violonistes entamèrent le célèbre Canon de Pachelbel et Emmett se leva envahir par la mélodie en respirant profondément bien que ce ne soit pas vraiment nécessaire pour ses poumons immobiles. Il remarqua Edward à ses côtés pour jouer le rôle du témoin. Mais tout comme lui il avait les yeux fixer sur l'arrivée. Car au bout du tapis déroulé sur une certaine distance, Rosalie faisait son entrée. Qu'elle était magnifique dans cette robe d'un blanc cassé. Avec ces voiles et sa coiffure lui allait à merveille. Et l'heureux chanceux qui pourrait épouser cette grande dame ce serait lui, Emmett. Il changea ses appuis pour se tenir perpendiculairement au tapis rouge et attendit avec une patience à nerfs rudes. Carlisle menait la belle mariée vers l'autel d'une démarche très humaine adressant des sourires à tous et à toute.

Arrivée à l'autel la jeune femme changea de bras pour se menotter à celui d'Emmett et les deux futurs mariés s'avancèrent vers l'autel religieux. Le silence se fit de nouveau et un prêtre s'avança vers eux pour leur faire prononcés leurs voeux. La cérémonie se fit dans les regards complices échangés, dans les sourires et dans les petits bavardages très discrets des invités qui n'hésitaient pas à prendre quelques photos ou quelques vidéos. Enfin le moment de dire le seul mot qui les feraient s'unir à jamais arriva. Le prêtre s'avança vers Rosalie et lui demanda si elle acceptait de se marier et de s'unir aujourd'hui à son âme soeur. Emmett fronça les sourcils lorsque le religieux n'énonça pas sa propre identité avant de poser sa question à Rosalie mais n'en fit pas la remarque. Ce n'était surement qu'une erreur d'inattention. La marié répondit que oui elle l'acceptait. Ensuite le religieux eut un sourire avant de poser sa question au marié. 'Edward Anthony Cullen accepter vous Rosalie Hale Cullen pour épouse légitime ?". Et Edward accepta à son tour. C'est alors que tout changea dans la situation. Ce qu'il avait prit pour le plus merveilleux jour de sa vie se transformait en celui qu'il n'aurait jamais voulu voir. Sans que quiconque ne fissent attention à lui Emmett les regarda échanger leurs anneaux abattu...

La sueur ruisselante sur son corps, Emmett se releva d'un coup dans ses draps tout aussi humides que son corps qui avait augmenter en température. La respiration saccadée il regarda autour de lui, se rendant compte qu'il se trouvait toujours dans la chambre, dans le lit, où il s'était allongé quelques secondes, minutes ou heures plus tôt. Il n'aurait pas vraiment sut le dire. Les vestiges du cauchemar continuait de l'assaillir et un doute prit l'initiative de s'insinuer en lui...

TEXTE NUMERO DEUX

Citation :: Le ciel était couvert. Les nuages aux couleurs argentées se laissaient porter par le vent, formant de mystérieuses circonvolutions aux contours familiers. Perché sur les plus hautes branches d'un chêne centenaire, Emmett observait ce spectacle, étrangement fasciné. Il était certain d'avoir vu une tête de loup, qui c'était ensuite transformé en un vague profil de Rosalie. Il n'avait jamais remarqué combien les nuages étaient fascinants. Tiens. Un lapin... avec une queue fourchue.

Un appel. Il baissa les yeux. Bella. Elle agitait la main, avec un air inquiet. Il lui sourit, moqueur. Quoi, elle avait peur qu'elle tombe de l'arbre ?! C'est plutôt elle qui ne devrait pas être dans la forêt. Il ne savait pourquoi mais il savait qu'elle ne devait pas être dans la forêt. Il fallait qu'elle parte, qu'il la ramène à la maison... Mais où était la maison ? Un vague coup d'oeil autour de lui et il se crispa. Il ne reconnaissait pas cette forêt. Ce n'était pas Hanover. Ce n'était pas La Push. Où étaient-ils ?

« Emmett ! Le soleil ! » cria Bella.

Quoi, le soleil ? Le ciel était couvert et... le soleil se faufilait entre les nuages moutonneux, tel le chien du berger il les encercla et darda ses rayons menaçants sur la cîme des arbres. Emmett tenta de cacher son visage. En vain. Il rayonnait, phare parmi les arbres, anomalie parmi les êtres vivants. Il se laissa tomber, atterrissant lourdement à terre auprès de Bella. Mais l'ombre des végétaux ne suffisait pas. La lumière le poursuivait !

« Ils approchent ! »

Qui ?! Il se retourna, et se figea. Trois silhouettes s'avançaient entre les arbres, avec la grâce et la tenue de Victoria et ses deux compagnons, plusieurs années auparavant... mais ce n'était pas des vampires, ce n'était... que des humains ?! Il aperçut soudainement leurs visages, déformés par des sourires mauvais promettant mort et douleur. Il voulut s'interposer entre eux et Bella. Elle était en danger ! Mais la jeune femme le repoussa, paniquée.

« Court Emmett ! Ils sont là pour toi ! »

Pour... lui ? Mais ce n'était que des humains ! Un coup d'oeil perplexe dans leur direction le détrompa. Ils portaient... des armes ? Des poignards, couverts de sang ? Ils couraient vers lui maintenant, brandissant leurs armes. Il se détourna vivement. Ils ne pouvaient pas l'attraper, il était beaucoup plus rapide qu'eux ! Il attrapa Bella par les hanches, la jeta sur ses épaules et prit la fuite. La fuite ?! Il fuyait des humains ?! Oui... dangereux. Ils étaient dangereux pour lui. Courir, mettre Bella en sécurité. Elle ne devait pas être là, pourquoi était-elle là ?

Une douleur perçante entre ses reins. Soudainement ces muscles ne semblèrent plus daigner lui répondre. Un genou à terre, l'étrange sensation que son corps (mort) revenait soudainement à la vie, son coeur redémarrant pour le ramener définitivement à la mort. Il lâcha Bella, son poids lui semblant soudainement peser beaucoup plus lourdement sur ses épaules. Il lui ordonna de fuir tandis que ses mains se crispaient sur la terre humide. Il cherchait l'air. Il respirait, haletait, agonisait. Il leva les yeux, conscient que Bella ne l'a pas quitté. Elle était là, le contemplant paisiblement... un poignard couvert de sang (celui d'un mort ? le sien ?) en main.

« Pour-quoi ?! » articula-t-il difficilement.
« Tu as blessé Rosalie, Emmett. Un monstre, c'est ce que tu es. Les monstres méritent la mort. » répondit-elle, impassible. Elle inclina la tête, intriguée de le voir mourir.

Il courba l'échine, cligna des yeux en apercevant le sang (du sang ? le sien ?!) coulant de sa blessure, maculant ses mains. Il avait du sang sur les mains... du sang sur les mains... Était-ce le sien ? Ou bien...

« Le mien ? » résonna une voix douce et familière, murmurant à son oreille.
« Rosalie ?! Aide-moi, Carlisle... »
« Pourquoi t'aiderais-je ? Bella l'a dit. Tu n'es qu'un monstre. »

Effaré, il observait le regard méprisant de sa dulcinée, celui dont il s'amusait lorsqu'il était adressé à autrui, et qui aujourd'hui le transperçait plus facilement que le coup de poignard précédent. Incapable de parler, de plaider, de comprendre, il observait sa bien-aimée entraîner Bella à l'écart, se retournant à peine pour lui jeter un dernier regard mauvais. Elles s'éloignaient, le laissent seul, se vidant de son sang. Tremblant, Emmett se retourna sur le dos, et fixa le ciel. Les nuages moutonneux étaient revenus. Ils se moquaient de lui, le fixaient d'un air goguenard, pointant du doigt le monstre agonisant. Un loup et un ours l'observaient, prêts à finir le travail. Emmett grogna, frappa le vide. Le loup s'éloigna. Il n'est plus sa proie. Il n'est plus qu'une loque humaine mourante, rien d'intéressant pour l'Enfant de la Lune. Mais l'ours, lui, en profiterait. Le nuage se précisait. La tête, les pattes avant puis le torse, et enfin ses pattes arrière. Il est là. L'ours.
Et il l'emportera.
Définitivement cette fois.

TEXTE NUMERO TROIS

Citation :: Il faisait sombre. Il releva la tête. Les ramures denses des arbres s’élevaient au dessus de lui, l’empêchant d’apercevoir le faible éclat des étoiles. Les étoiles. Il percevait leur présence, ou plutôt leur absence de présence. C’était donc la nuit. Que faisait-il la nuit dans la forêt ? Chassait-il ? Il ne se souvenait plus. Et cela lui paraissait de plus hautement improbable. Il avait chassé la veille avec Jasper. Et puis, il connaissait bien la forêt de Hanover et ce n’était pas celle-ci.
Il était seul. Du moins c'était ce que sa vue lui disait. Mais ses autres sens lui soufflaient autre chose. Emmet sentait une présence non loin de lui. Et même plusieurs présences. Méfiant il tourna sur lui-même, scrutant les sous-bois. Son odorat sur développé ne percevait rien. Mais son instinct lui hurlait qu'il était entouré. Et qu'il ferait mieux de fuir. Il secoua sa tête. Fuir ? Pourquoi faire ? C'était lui le prédateur ici. Le prédateur ultime même. Il n'avait rien à craindre. Et ceux qui rôdaient autour de lui ne risquaient rien non plus. Pour rien au monde il ne se serait permis de toucher ne fusse qu'un cheveux d'un humain avec de mauvaises intentions en tête. Ce n'était tout simplement pas son genre. Il fallait leur dire, à ces gens, qu'ils ne risquaient rien. Soudain, il sentit une drôle de sensation au creux du ventre. Il leva les mains.

" Vous ne craignez rien. Je suis un... "

De nouveau cette sensation de froid, dans la cuisse cette fois. Froid ? Depuis qu’il était devenu vampire, Emmet n’avait plus jamais eu froid. Incrédule, il baissa lentement la tête. Ses yeux se posèrent sur le manche d’un poignard qui dépassait de sa jambe. Ses yeux s’agrandirent sous l’effet de la peur et de la stupeur. Un poignard ? Mais enfin, c’était impossible ! Sa peau était plus dure que du granit. Une simple lame ne pouvait même pas l’égratigner. Ce devait être un cauchemar. Non pas un cauchemar. C’était ridicule voyons ! Il ne rêvait pas plus qu’il ne saignait. Sauf que là, il saignait bel et bien. Il put le vérifier en tirant la lame hors de sa chair. Le sang qui avait cessé de circuler dans ses veines depuis des années coulaient maintenant à flot. Et son cœur. Son cœur battait à nouveau dans sa poitrine. Emmet le sentait cogner contre sa cage thoracique. Cet organe silencieux depuis sa renaissance faisait maintenant un bruit pas possible. Il battait si fort et si vite que le vampire (mais méritait-il encore ce nom ?) avait l'impression qu'il allait jaillir hors de son corps. Enfin il ressentit la douleur, avec un temps de retard. Il avait presque oublié quelle désagréable sensation c'était. Il retint de justesse un cri et pressa une de ses mains main contre sa cuisse et l'autre contre son ventre. Ses yeux papillotaient, cherchant à voir, à comprendre. Ce qui se passait était totalement impossible. Toutes ses certitudes étaient ébranlées. Pire que cela même. Elles étaient carrément détruites, réduites en poussière. Il ne restait plus rien de ce qu'il croyait savoir sur son existence et sur sa nature.
Il voulu bouger mais ses jambes ne lui obéissaient plus. Seuls ses yeux semblaient encore connectés à son cerveau. Lequel analysait la situation. Et il fallait bien avouer qu'elle n'était guère reluisante. Perdu au milieu de cette forêt inconnue à l'atmosphère humide et oppressante, personne ne sachant où il était, attaqué par l'homme invisible et ses congénères. Sa respiration accéléra sous le coup de la frayeur. Tiens, il respirait maintenant ? Encore une certitude en moins... Il sursauta soudain et grimaça. Une nouvelle plaie barrait son abdomen. En fait, de nouvelles blessures apparaissaient à chaque seconde sur son corps, produites par des couteaux tenus par des gens invisibles. Il y avait de quoi devenir fou. C'était pire que tout ce qu'il avait vécu. Pire que cette attaque d'ours dont il se souvenait à peine.
Des filets de sang commencèrent à ruisseler sur sa peau d'albâtre et formèrent une mare à ses pieds. Décidément, il aurait vraiment tout vu. Il voulut crier, échapper à cette horreur mais c’était comme s’il ne faisait plus partie de son corps. Impuissant, il se vit tomber. Littéralement. Il n’était plus sur terre tout en y étant encore. C'était étrange comme sensation. Il se voyait de haut. Et il s’élevait sans cesse. Emmet ne comprenait pas. Cela n’était pas censé arriver. Il était déboussolé. Mais tout cela n'avait aucune importance. Il n'avait que Rosalie en tête. Son ange. Elle allait tellement souffrir. Non, il ne voulait pas lui faire de mal, même indirectement !

Puis, tout se précipita. Il vit une furie blonde se ruer vers son corps couché par terre, passant au travers des attaquants invisibles. Emmet eu envie de hurler à Rose de s’en aller, de ne surtout pas rester dans cet endroit dangereux mais aucun son ne sortit de sa bouche tordue en un cri muet. Pendant ce temps sa femme s’était transformée en un tourbillon vengeur. Mais ce n’était pas suffisant. Ses ennemis n’étaient pas ceux contre lesquels elle avait l’habitude de lutter. Ils étaient invisibles, insaisissables, dangereux. Impuissant et horrifié, il regarda l’unique amour de sa vie subir blessure après blessure. C’était pire que lorsque lui-même avait reçu les coups. Il savait ce qu’elle endurait et il aurait tout fait pour que cela s’arrête. La faire souffrir était la pire torture qu’on pouvait lui infliger à lui. Il serait volontiers mort une seconde fois pour lui éviter cela. Il ne supportait tout simplement pas de la voir souffrir ! Il émit un gémissement qui se perdit dans ce néant qui l’entourait. Non, pas cela ! Tout mais pas cela ! Il vit soudain Rosalie tomber avec toute la grâce inhérente à sa personne. Et son… son quoi au fait ? Son fantôme ? Son âme ? se détacha de son corps pour monter vers lui. Elle souriait. Elle lui prit la main mais Emmet ne sentit pas le doux contact de sa peau. C’était terrible. Mais en même temps… ils étaient toujours ensemble. Seul cela comptait au fond.
Et ce fut ensemble qu’ils se retournèrent et regardèrent la lumière qui brillait comme un soleil blanc derrière eux. Ils se dirigèrent dans sa direction, comme aspirés. Il ne faisait plus attention à sa mort passée, ni aux circonstances qui l’avaient entourée. En fait il ne pensait plus à rien. A part à cette lumière qui l’attirait. Une pensée saugrenue surgit dans son cerveau.
« Je vais enfin savoir qui de Carlisle ou d’Edward a raison. »
Y avait-il quelque chose après la mort pour des créatures telles que lui ? Ou bien était-il condamné à… à quoi ? Emmet devait bien l’avouer, il n’avait aucune idée sur la question. Rose et lui semblait être arrivé au bout de leur chemin terrestre.

Puis ce fut le noir.
Emmet ouvrit les yeux.

RAPPEL : Il vous reste quatre jours pour voter ! Wink

Je suppose que les participants ne peuvent pas voter ? ^^

En tout cas, bravo à mes deux concurrentes ! Love

Je fais pas de commentaires pour ne pas fausser l'anonymat, mais voilà quoi ! Very Happy

Si si, ils peuvent, tant qu'ils ne votent pas pour leur propre texte Razz

Et je suis d'accord, j'ai moi-même eu du mal à choisir parce que j'ai aimé les trois ! ^^

Bravo à Mary-Ann Latour qui remporte le concours avec 1 vote de plus que les deux autres Razz

Victor et Sora, vous êtes donc juste derrière à égalité !
Merci à tous les trois pour votre participation, et merci aussi à ceux qui ont pris la peine de voter. Ca devait être difficile de vous départager, en tout cas ça l'a été pour moi xD

Comme un boulet, c'est passé à la trappe dans ma tête, j'ai oublié de voter ! Sad

Mais félicitations à la gagnante Very Happy

Ouaip! Moi j'aurais plutôt vu Emmett faire des rêves vraiment idiots et plutôt drôle!
J'ai été très suprise de voir des trucs aussi sérieux!
Mais c'était chaud, j'ai même pas pu me décider entre les trois :)

**Invité** Invité

Pauvre Emmet ^^ Tu t'ai fait martyrisé Very Happy

Bravo à Sora et Victor Very Happy

Pour un vote je crois qu'on peux tous se considérer comme gagnant !
Et merci à ceux qui ont voté (même si ce n'est pas pour moi ^^)

**Invité** Invité

Bravo à tous et puis sa ma fait plaisir de participer heiin . Vos textes Sora et Mary sont géniaux j'ai adoré =D La prochaine fois on lui fera de gentil reves tous rose ^'

Ouais, on a été trop pas gentil. Sifflote

Moi j'ai adoré le tien Victor, je l'ai trouvé très original sur le coup du mariage, bravo. Very Happy

Et le tien, superbe Mary, félicitations ! ^^

**Contenu sponsorisé**